SigiDoc ID: ―
Description physique
- Type d'empreinte
- Empreinte originale
- Matériau
- Plomb
- Forme
- Ronde
- Dimensions (mm)
- Diam. 26
- Poids (g)
- 11,15
- Orient. du canal (cadran)
- 12-6
- Axe (cadran)
- ―
- Orient. de la surfrappe (cadran)
- ―
- Exécution
- Frappé
- Contremarque
- ―
- Conservation
- Echancré aux orifices du canal ; nettement usé sur les deux faces.
Datation
- Date
- IXe siècle (fin)
- Date explicite
- ―
- Critères de datation
- Épigraphie
- Date alternative
- ―
Historique
- Catégorie
- Administration centrale
- Émetteur
- Léon (PBE: PBE Leo 82)
Milieu: Civil
Genre: Masculin - Lieu d'émission
- ―
- Lieu de découverte
- ―
- Date de découverte
- ―
- Circonstances de découverte
- ―
- Localisation actuelle
- Izmir (Turquie)
- Institution et département
- ―
- Collection et inventaire
- 2331
- Acquisition
- ―
- Localisations précédentes
- ―
- Observations modernes
- ―
Avers
- Langue(s)
- Grec
- Conception du champ
- Iconographie avec légende circulaire
- Dimensions du champ
- Diam. 26
- Matrice
- ―
- Iconographie
- Croix patriarcale élevée sur trois degrés, dépourvue de tout ornement
- Décoration
- Cercle de perles
- Épigraphie
- ―
Revers
- Langue(s)
- Grec
- Conception du champ
- Légende linéaire sur 4 lignes
- Dimensions du champ
- Diam. 26
- Matrice
- ―
- Iconographie
- ―
- Décoration
- Cercle de perles ; légende précédée d’une croisette
- Épigraphie
- ―
Édition
Légende et Traduction
+ Κύριε βοήθει τῷ σῷ δούλῳ / + Λέοντι βασιλικῷ πρωτοσπαθαρίῳ καὶ ἀσηκρῆτις.
Seigneur aide ton serviteur Léon, protospathaire impérial et asèkrètis.
Bibliographie
- Édition(s)
- Cheynet, coll. Tatış, 32-33
- Parallèle(s)
- Aucun parallèle connu
- Bibliographie additionnelle
- Aucune autre mention
Commentaire
Le même fonctionnaire a utilisé un boullôtèrion très proche, connu par trois sceaux, l’un conservé au Musée archéologique d’Istanbul (α), les deux autres provenant de l’ancienne collection Zacos (β)9. Sur ces pièces, la lecture des deux dernières lettres est erronée : la très longue abréviation suivant T2 laisse croire à une lettre à deux hastes verticales, telle un Π, et la consonne finale paraît posséder un tiret médian supplémentaire, comme un E. Ainsi, l’hypothèse proposée par les éditeurs précédents, d’un toponyme, tel Péloponnèse, est exclue ; il n’y a donc pas de preuve de l’existence d’asèkrètis de thème. Un autre plomb de même avers et de même légende, mais issu d’un autre boullôtèrion, aura probablement appartenu au même sigillant [1].
Notes
[1]. Anc. coll. Giannopoulos, éd. EEBS 3, 1926, p. 165, no 3 ; Laurent, Corpus II, no 64 : .EON.|R/A/CΠAΘ.|Ρ/S=A.H..|HTH.