SigiDoc ID: ―
Description physique
- Type d'empreinte
- Empreinte originale
- Matériau
- Plomb
- Forme
- Ronde
- Dimensions (mm)
- Diam. 24
- Poids (g)
- 12,09
- Orient. du canal (cadran)
- 12-6
- Axe (cadran)
- ―
- Orient. de la surfrappe (cadran)
- ―
- Exécution
- Frappé
- Contremarque
- ―
- Conservation
- Echancré aux orifices du canal ; partiellement écrasé au droit.
Datation
- Date
- VIe siècle
- Date explicite
- ―
- Critères de datation
- Épigraphie
- Date alternative
- ―
Historique
- Catégorie
- Privée
- Émetteur
- Justinien
Milieu: Privé
Genre: Masculin - Lieu d'émission
- ―
- Lieu de découverte
- ―
- Date de découverte
- ―
- Circonstances de découverte
- ―
- Localisation actuelle
- Izmir (Turquie)
- Institution et département
- ―
- Collection et inventaire
- 472
- Acquisition
- ―
- Localisations précédentes
- ―
- Observations modernes
- ―
Avers
- Langue(s)
- Latin
- Conception du champ
- Légende linéaire sur 3 lignes
- Dimensions du champ
- Diam. 24
- Matrice
- ―
- Iconographie
- ―
- Décoration
- ―
- Épigraphie
- ―
Revers
- Langue(s)
- Grec
- Conception du champ
- Monogramme, autres formes
- Dimensions du champ
- Diam. 24
- Matrice
- ―
- Iconographie
- ―
- Décoration
- Cercle de feuillage ; légende précédée d’une croisetteCercle de feuillage
- Épigraphie
- ―
Édition
Légende et Traduction
+ Iustinianus / Ἰουστινιανοῦ.
Justinien. Justinien.
Bibliographie
- Édition(s)
- Cheynet, coll. Tatış, 353
- Parallèle(s)
- Aucun parallèle connu
- Bibliographie additionnelle
- Aucune autre mention
Commentaire
L’inscription du droit confirme la lecture du monogramme du revers. Les précédents éditeurs des pièces parallèles ont attribué ce type de plomb à l’empereur Justinien Ier (527-565), car ce monogramme ornait en effet certains chapiteaux et colonnes de Sainte-Sophie. Cependant, G. Zacos émet une objection majeure : l’absence de portrait impérial, à la différence des autres sceaux du même empereur [1]. Pour cette raison, il est classé dans ce catalogue au chapitre des prénoms. Or, le monogramme est exprimé à cette date au génitif, alors que l’inscription du revers est au nominatif. On pourrait alors interpréter ce sceau comme celui de Justinien, (fils de) Justinien. Il est vrai, comme le remarque W. Seibt, que ce monogramme peut aussi être transcrit au nominatif, Ἰουστινιανός. Il y a donc plusieurs possibilités d’interprétation [2]. Notons que le monogramme peut aussi se lire Ἀναστασίου, mais le droit incite à retenir l’autre solution. Le nom de Justinien, qui est rare, est seulement présent dans la famille de l’empereur homonyme.
Notes
[1]. Ainsi, Zacos – Veglery, nos 3 et 4 ; Seibt, Bleisiegel I, no 6 ; sokolovA, Imperial Seals, nos 8-14 ; Cheynet – Bulgurlu – Gökyildirim, Istanbul, nos 1.3-1.5.
[2]. Seibt, Early Monograms, p. 4.